Le bon Samaritain tel que contée dans les saintes écritures n’était pas le plus riche. Cependant, il avait un sens élevé du partage. Il éprouvait de la compassion pour son semblable. "Nul n’a le droit d’être heureux tout seul" disait le Pasteur Raoul Follereau le père-fondateur de la léproserie. On l’a même surnommé le vagabond de la charité. Le seigneur Jésus Christ enseigne que, même avec peu, on peut soutenir et aider son prochain. Je dirais plutôt en faveur de personnes se trouvant dans le besoin, qu'avec un peu de la volonté et de l’amour on pourrait les secourir et les relever.
Matthieu 25:43 "J'étais étranger, et vous ne m'avez pas recueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas vêtu; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité."
Ces paroles pénétrantes de notre Seigneur Jésus Christ à notre endroit nous laissent perplexe et excitent notre compassion en ce sens qu’il s'avérait insultant que les serviteurs d’un Seigneur nu, malade et emprisonné ne lui rendent point visite, ou ne lui servent pas le nécessaire quand il en a besoin. Hélas, ces attitudes des serviteurs furent les nôtres et peut être les vôtres aussi, car chaque fois que nous avions eu la possibilité de rendre visite aux prisonniers, de sacrifier un peu de notre temps aux soins des dépravés, aux professionnelles du sexe, délinquants, de leur apporter l’eau et le pain de vie et de couvertures, nous ne l’avons pas fait. Voilà pourquoi ces tristes paroles du Seigneur nous concernent.